Schréder - FOCUS - Arrêté 12-2020

Concrètement

2 Notions de temporalité

La note Comatelec Schréder

Les exigences de temporalité sont liées aux types d’application. Il est à noter que l’éclairage de voirie n’est soumis à aucune exigence de temporalité. Il faut savoir également que la détection de présence permet d’adapter les exigences de temporalité. (Article 2 - VII)

Article 7 L’arrêté du 25 janvier 2013 relatif à l’éclairage nocturne des bâtiments non résidentiels, afin de limiter les nuisances lumineuses et les consommations d’énergie est abrogé au lendemain de la publication de l’arrêté. Article 2 I. - Les éclairages extérieurs définis au a de l’article 1er du présent arrêté, liés à une activité économique et situés dans un espace clos non couvert ou semi- couvert, sont éteints au plus tard 1 heure après la cessation de l’activité et sont rallumés à 7 heures du matin au plus tôt ou 1 heure avant le début de l’activité si celle-ci s’exerce plus tôt. II. - Les éclairages de mise en lumière du patrimoine et des parcs et jardins définis au b sont allumés au plus tôt au coucher du soleil et sont éteints au plus tard à 1 heure du matin ou, s’agissant des parcs et jardins, au plus tard 1 heure après leur fermeture. III. - Les éclairages des bâtiments non résidentiels définis au d sont allumés au plus tôt au coucher du soleil et sont éteints au plus tard à 1 heure du matin. Les éclairages intérieurs de locaux à usage professionnel sont éteints au plus tard une heure après la fin de l’occupation de ces locaux et sont allumés à 7 heures du matin au plus tôt ou 1 heure

à l’article R. 583-6 du code de l’environnement. VII. - Les prescriptions des paragraphes I à IV peuvent être adaptées lorsque ces installations sont couplées à des dispositifs de détection de présence et des dispositifs d’asservissement à l’éclairement naturel. Les dispositifs de détection de présence ne génèrent qu’un éclairage ponctuel. Le maire peut déroger aux dispositions concernant l’extinction des installations d’éclairage visées aux b et d (à l’exception de celles concernant les façades de bâtiments) de l’article 1er lors des veilles des jours fériés chômés et durant les illuminations de Noël. Les préfets peuvent déroger à ces mêmes dispositions lors d’événements exceptionnels à caractère local définis par arrêté préfectoral et dans les zones touristiques et les zones touristiques internationales mentionnées à l’article L. 3132-24 du code du travail. VIII. - Le cas échéant, les gestionnaires d’installations d’éclairage lancent une réflexion sur les possibilités d’extinction de leurs installations. Cette réflexion est réalisée avec les différents acteurs impliqués dans la lutte contre les nuisances lumineuses au niveau local.

avant le début de l’activité si celle-ci s’exerce plus tôt. Les éclairages de vitrines de magasins de commerce ou d’exposition sont éteints à 1 heure du matin au plus tard ou 1 heure après la cessation de l’activité si celle-ci est plus tardive et sont allumées à 7 heures du matin au plus tôt ou 1 heure avant le début de l’activité si celle-ci s’exerce plus tôt. IV. - Les éclairages des parcs de stationnement définis au e de l’article 1er du présent arrêté qui sont annexés à un lieu ou zone d’activité sont allumés au plus tôt au coucher du soleil et sont éteints 2 heures après la cessation de l’activité. Ces éclairages peuvent être rallumés à 7 heures du matin au plus tôt ou 1 heure avant le début de l’activité si celle-ci s’exerce plus tôt. V. - Les éclairages des chantiers extérieurs définis au g, sans préjudice des articles R. 4534-1 et suivants du code de travail, sont allumés au plus tôt au coucher du soleil et sont éteints au plus tard 1 heure après la cessation de l’activité. VI. - Des adaptations locales plus restrictives peuvent être prises par le préfet pour tenir compte de sensibilité particulière aux effets de la lumière d’espèces faunistiques et floristiques ainsi que les continuités écologiques mentionnées à l’article L. 371- 1 du code l’environnement dans les conditions définies

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